Bonjour, bonjour !
Une nouvelle journée débute et j’espère que vous allez bien dans le cas contraire, prenez soin de vous surtout. Pensez à vous avant le reste. Oui, c’est important, plus que ce que l’on peut croire aux premiers abords. Aujourd’hui, ce sera un nouvel avis général sur un manga que j’avais réellement apprécié au niveau de la découverte. Je vous laisse avec le résumé et à tout de suite !
Kureha Mimachi, 15 ans, est orpheline et l’institution où elle vivait a fait faillite. C’est à ce moment qu’elle tombe par chance sur le prospectus du lycée privé Kedamono, qui recrute des élèves. Les frais de scolarité et d’internat étant offerts au premier arrivé, Kureha s’y enrôle, mais ce qui l’y attend est plus que surprenant… Comment survivre au lycée des fauves, tome 1 !
« En ce jour où tombaient en tourbillonnant… les pétales de cerisiers tout blancs… sur un ciel tout noir… »
Sorti aux éditions Glénat en janvier 2012 – dans la catégorie Shôjo – et terminé en juin 2014, « Monochrome Animals » est un manga où les personnages grandissent au fil des 12 volumes de Ryoko Fukuyama et on ne s’ennuie jamais en compagnie des personnages présents. Personnages que l’on rencontre, pour la plupart, assez rapidement vu que le quatuor apparaît dès les premières pages. Chacun d’entre eux à un caractère bien à lui, des traits qui lui sont propre et on découvre toujours quelque chose par rapport à eux.
Nous suivons Kureha, une jeune humaine, qui se retrouve au lycée privé Kedamono. S’attendant à trouver un lycée « normal », elle se retrouve embarquée dans quelque chose de totalement farfelu à première vue. Après tout, qui s’attendrait à se retrouver dans un lycée composé essentiellement de fauves tout en héritant, soi-même, d’attribut de lapin ? Pas grand monde en tout cas. Pourtant c’est ce qui arrive à la jeune fille de 15 ans qui devra survivre jusqu’à la fin de sa scolarité afin de mener à son terme le projet Rabbit.
L’histoire évolue doucement, nous permettant ainsi de vivre pleinement ce qu’il se passe en compagnie des personnages. On s’attache à eux, on rit et on pleure avec eux. Toutes les émotions qu’ils ressentent sont reconnaissables par le dessin sur la page que l’on regarde et nous les vivons en leur compagnie, souffrons parfois avec eux. Joie, peur, amour, trahison, amitié, c’est tout cela et plus encore que nous côtoyons dans « Monochrome Animals ». Étant donné que l’histoire a lieu dans un lycée, les cours et les différentes activités ayant lieu naturellement dans ce genre d’établissement sont également présents. Examens, festivals, cours, etc. Tout cela les rend également plus proche de nous car nous pouvons facilement deviner leur quotidien.
Au fil du temps, nous découvrons également les pays d’où sont issus les personnages. Celui des humains nous est naturellement connu, étant donné que c’est le nôtre, mais pas les autres. Chaque pays à un style spécifique pouvant être proche de l’occidental ou de l’oriental en fonction de l’animal en question. Le pays loup ne ressemblera pas au pays tigre par exemple et ainsi de suite. Grâce aux voyages dans les différents pays, nous découvrons également les familles de ceux-ci, les liens entre eux et des bribes des passés des personnages. Passés pouvant s’avérer assez troubles.
Les dessins sont, quant à eux, assez jolis je trouve. Ils vont même en s’améliorant au fil des volumes et ce sont eux qui nous permettent de voir les émotions des protagonistes. On reconnait l’endroit où l’on se trouve sans aucun problème ainsi que les personnages. Les couvertures représentent à chaque fois au moins l’un des personnages de la série et les couleurs sont vraiment agréables. Sur la première page, on retrouve à chaque fois une petite scénette en rapport avec la couverture justement, ce qui est un réel plus vraiment sympathique.
En tant que shôjo, « Monochrome Animals » était vraiment bon et prenant. Comme souvent, il vaut mieux ne pas se contenter du premier tome qui présente rapidement l’univers et les personnages car la suite est vraiment intéressante. L’humour présent fait mouche dans la plupart des cas et je me suis surprise à sourire pour des stupidités assez souvent tellement c’était bien amené. Quant aux personnages, je me suis attachée à eux au fil des pages jusqu’à avoir de légères larmes aux yeux durant le dernier tome. On ne s’attend pas à certains choix effectués par les protagonistes, des surprises nous attendent et nous nous demandons ce que donnera le tome suivant. Pour ce qui est de la toute fin, elle était parfaite à mes yeux et ce même si on ne sait pas ce qu’ils deviennent par après. J’étais triste de fermer le dernier tome et de les laisser.
Je peux donc dire, sans aucun problème, que dans les recommandations shôjo je n’hésiterai pas à mentionner « Monochrome Animals » ! Pour ceux qui se demanderait, le personnage que j’ai préféré était Chigaya, mais au fond je les ai vraiment tous adoré.
Et vous, l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ? Y a-t-il un personnage ou un tome que vous avez préféré ?
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Très belle chronique ✨. Je ne connaissais pas du tout donc ça me fera une nouvelle idée de lecture pour un Shojo ✨
Il est peu connu… pourtant c’est un de ceux que j’adore !☺️